Mon royaume!lol

Isabelle Darcy etait a l'aise...Elle etait assise a son nouveau bureau et avait bien installee toutes ses affaires...Elle ecrivait comme toujours en attendant les eleves de son premier cours legerement nerveuse quand meme...Que de pays avait elle traversee avant detre assise a cette place! Elle esperait que la reeadaptation ne serait pas trop difficile... Mais ce qui gardait le sourire de cette jeune prof colle a son visage c'etait quelle etait plus motivee que jamais a transmettre son amour de la litterature!

Léon était comme toujours dans cette humeur de paix et de joie... avançant tranquillement dans les couloirs qu'ils connaissaient à présent par coeur... ses yeux verts flamboyant et le sourire aux lèvres, son sac sur une épaule, il sifflotait tranquillement. Avant les cours, il avait décidé, en bon filleul, de rendre une petite visite à sa marraine : Isabelle Darcy. Il se rendit donc devant la salle de français, et toujours le sourire aux lèvres, il frappa à la porte, avant de rentrer sans attendre de réponse.
"Salut Isabelle, comment tu vas ?"
Il s'avanca, et s'assit sur le bureau. Se penchant un peu, comme un sans gêne qu'il était un peu, il regarda ce que sa belle marraine écrivait...

Isabelle éclata de rire et ferma son cahier...Elle tourna la tête et vit la tête de son cher filleul... Elle le serra dans ses bras aprés avoir jetée un regard vers la porte et lui ébouriffa les cheveux comme elle aimait tant le faire...

Bonjour mon cher filleul...Je vais bien , c'est gentil de me faire une petite visite...lol
Elle adorait le taquiner surtout quand celui-ci essayait de faire sortir un petit coté rebelle...

Léon se dégagea en jetant des regards un peu partout d'un air faussement inquiet...
"Isa !!! On pourrait nous voir !" et il rigola, tout en plaquant ses mains sur sa tête, applatissant ainsi ses cheveux...
"... Et en plus tu me décoiffes !" Il est à noter, que Léon était DEJA décoiffé...
Le jeune homme, toujours souriant, sauta du bureau et se promena un peu dans la salle de français en sifflottant...
"Alors ? Pas trop stressée, la vieille?"

Non, mais...je suis pas encore vieille que je sache! riposta Isabelle D

Et pour ta gouverne, Léon, je suis morte de trouille!! acheva t'elle toujours dans un fou rire...
Et toi monsieur le beau gosse, reprit t'elle en désignant l'applatissage de cheveux du doigt, ca se passe bien ta rentrée?

"Evidemment que t'es vieille... et evidemment que je suis un beau gosse ! " Acheva Léon dans un sourire.... Puis répondant à la question de sa marraine: "Bah pour l'instant, je sais pas trop... J'ai pas encore vu mes potes et je suis tout seul dans ma chambre, à pleurer les jours heureux où je pouvais me saôuler avec des amis qui vous font chaud au coeur..." Il se retint de rigoler, et acheva dans un sourire, prenant Isabelle par les épaules "Et t'inquiètes pas... si quelq'un t'embêtes, je m'en irais lui faire sa fête!!! "
Puis il se dégagea. "Ralala je suis vraiment trop gentil..."
Il se dirigea vers une fenêtre, et rajouta, d'une voix un peu plus triste: "J'ai pas encore vu mes frères et soeurs non plus..."

Mathieu sortait à pein de son lit, les cheveux en batailles, les yeux mis-clos il était encore dans le monde des rêves bien qu'il fut un peu plus conscient qu'auparavant. Le jeune homme mit un peu de temps pour sortir de sous les draps blancs, il repoussa les poils de sa brosse à dents qui partaient dans tous les sens, enfin le jeune homme se coiffa après s'être habillé très classe comme à son habitude. Pas toujours réveillé, il qitta le bâtiment des dortoirs, parcourant d'innombrables couloirs et portes de classes fermés à cette heure-ci de la matinée, il se dirigeait vers le self pour prendre un petit déjeuner bien français.

Il entendit des bruits vennant d'une salle de classe, plus précisément celle de Mme Isabelle qui était professeur de français et professeur principal de sa filière. Sur la pointe des pieds, les yeux toujours au bord du rêve, il regarda à travers l'entrebaillement de la porte et vit son frère, ou plutôt l'un de ses grands-frères, ce dernier était l'un des rares à pouvoir le sacquer et il en était assez heureux. Il recula de plusieurs pas quand il entendit quelqu'un s'approcher de la porte, il fit comme s'il n'avait rien vu jetant un sourire à l'arrivant.

Léon, ayant entendu du bruit à l'exterieur de la porte, s'avança vers celle ci... et l'ouvrit brusquement pour surprendre l'arrivant:
"HAHAaaaa...[silence]Aaaaaaaaah !" Léon afficha un sourire, et puis, pour énerver un tantinet son frère, il se jeta sur lui et l'ébouriffant un peu plus, il le poussa dans la salle.
"Hein qu'elle est vieille Isabelle, Mat ?" Toujours souriant, il commenca à chanter..;
"Grouiouiiiirk" Léon rigola "Désolé c'est mon bide... j'ai la dalle..."

Mathieu ne sut pas quoi dire lorsqu'il fut poussé dans la salle de cours par son frère plus âgé d'un an environ que lui, il se vit rougir sous les yeux de Léon ainsi que de son professeur principale. L'élève assez nature se redressa plusieurs fois pour se mettre à rire entendant son ventre grommeler des serments de famine. Le jeune homme eut un petit sourire géné ses joues étaient de plus en plus rouge, ses yeux virèrent sur le sol, scrutant la moindre imperfection qui pouvait s'y trouver. Grattant du pied le sol fait de carrelage blanc tâcheté de roux, il laissa alors échapper des petits mots qui si on les reliait n'avait aucunes signifiquations réells, fallait-il entendre la suite:

"Je... Il... vv..."

Léon sourit à la mine timide et rougeoyante de son frère cadet... Prenant un air faussement sérieux et adulte il passa un bras au dessus des épaules de son frère:
"Tu sais Mat... Faut pas être timide comme ça... vois tu, je crois qu'il est venu le temps que je t'apprenne les joies de la vie...... ça te dirait d'aller manger pour commencer ? Ensuite on passera aux choses plus sérieuses..." Il lui sourit tel un grand frère maternant auprès de son plus jeune frère...

Les joues rouges du jeune homme perdirent leur couleur vive pour laisser place à une mine quelque peu exaspérait par son frèro ayant une année de plus que lui bien qu'il fut moins mature que Mathieu. Il se défit rapidement de l'étreinte de sn frère ainé et jetant un regarda à ce dernier, il eut un sourire amusé. Sa main droite vint donner un petit coup de point fraternel sur le visage de son frère, avec un grand sourire amusé, il se demandait vraiment comment pouvaient-ils être frères tout les deux, étant très différent l'un de l'autre.

"C'est sur que plus décontracté que toi on trouve pas!"

Il contiua de sourire sans cesse, les deux frères ne se ressemblaient pas énormément, arborant des personnalités très différentes l'une de l'autre, des caractères bien distincts et des goût diamétralement opposés que se soit en matière de filles ou non!

Léon reçut le mini coup de poing, avec, comme à son habitude, un sourire...
"Tu sais que je suis contre la violence Mat ! " Lui rappela avec un petit rire amusé son âgé d'une année de plus... puis il rajouta en marmonnant:"Sauf quand c'est moi qui l'utilise..."

Son frère et lui ne se ressemblait absolument pas, et pourtant ils s'entendaient bien...*Alors pourquoi les autres ne peuvent ils pas supporter ce frère ? Il n'est pourtant ni agaçant_contrairement à moi_ ni violent, ni chiant... Pfff ils sont relous parfois !*
S'apercevant qu'il l'observait fixement depuis quelques bonnes secondes, Léon détourna son regard avec un sourire...
"Au faite, t'es avec qui cette année dans la chambre ?"

Mathieu regarda un instat son frère et voyant que ce dernier n'arrêtait pas de le fixer pendant un petit moment, il détourna son regard rapidement ne voulant pas que la rougeur de ses joues ne l'envahit à nouveau. Le jeune homme ne put s'empêcher après de revenir vers lui puis dans un sourire amusé et toujours aussi gentillé, il reprit la parole voulant répondre à la question qu'il vennait de lui poser, remettant en place ses cheveux qui étaient partis un peu dans tous les sens, ses yeux étaient à présent bien ouverts, le sommeil étant parti à grandes enjambées.

"Avec un grand costaud qui d'un revers de main m'enverrait balader sans aucuns problèmes! Et toi?"

Mathieu continua de regarder son frère comme si la prof de français n'existait pas, ce qui lui évitait les gênes qu'il avait eu au début de la conversation, poussé dans la salle de cours qui n'était pas la sienne.

Léon eu un sourire amusé à la réponse de son frère.
"Oh pour moi, pour l'instant j'suis tout seul..." il prit une mine triste avant de retrouver le sourire:
"Comme ça je peux inviter QUI je veux" Il rigola, puis alla s'assoir à un bureau en sifflottant, la tête dans les nuages de l'imaginnation, un sourire aux lèvres... Se retournant vers Mathieu:
"Mais.. il est sympa au moins non ? Sinon t'inquiète j'te protegerais... héhé !"

Mathieu eut un autre sourire, son frère avait toujours de l'humour dans n'importe quel situation, par ailleurs c'était l'un des seuls à l'avoir aidé lorsqu'il était petit et qu'il recevait en secret des horreurs de la part de son prof. Des découlement de tout ceci faisait qu'il était très timide devant les professeurs, son frère l'aida comme il le pout mais rien ne pourrait lui enlever cette idée de la tête qu'ils lui voulaient presque tous des comptes. Il commença alors à répondre à son frère sur un ton d'incertitude:

"Je ne sais pas, je ne l'ai pas encore rencontré!"

Le jeune homme littéraire se tourna vers la porte toujours un peu entrouverte mais aucuns bruits n'en vennaient, que se soit du couloir ou plus loin, comme si l'école était morte, le silence reignait sur son ensemble, les élèves ne s'étant pas encore réveillé apparemment.

Léon lui fit un sourire encourageant, et vient lui donner, comme pour le soutenir, une tape maladroite dans le dos...
"Bah ! J'suis sûr qu'il est sympa... t'inquiète !!!" il lui sourit à nouveau puis, se remit à sifflotter...
"Au faite tu m'as pas répondu.. ça te dirait d'aller manger un p'tit quelque chose ?"

Mathieu reçut une petite tape qu'il jugea quelque peu inutile à ce moment précis mais enfin bon, il n'allait pas se plaindre du fait que quelqu'un soit inquiet pour lui, ce qui était relativement rare par les temps qui courent. Il releva légèrement le tête qu'il avait baissé quelques temps plus tôt et enfin, il regarda son frère ses yeux marrons parcourant tout son corps, il se demandait bien comment son frère d'un an agé en plus pouvait bien le protéger ayant une carrure encore plus frêle que la sienne. Ne cherchant pas à le vexer, il répondit rapidement à sa question sur un ton compatissant à la bêtise de ce dernier:

"Tu veux dire passer un moment avec un fou comme toi?... C'est ok!"

Finit-il par dire avec un grand sourire, tellement immense que toutes ses dents blanches étaient découvertes et ses yeux étaient plissées d'amusement.

"Un grand fou comme moi ? Arrêtes ! Tu vas me faire rougir !" Il rigola, puis observant son frère qui le passait en revue, il se demanda bien ce qui lui arrivait tout à coup, mais il ne s'y attarda pas longtemps.

"Bon eh ben parfait ! Allons dévaliser le self entre frères !!!"
Il se dirigea vers la porte, et s'arrêtant devant il dit:
"Au faîte vieille Isabelle, si tu veux venir aucun problème!" Puis se tournant vers son frère,
"Alors jeune frèrot c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?!?" Et après cette refléxion fort philosophique, il sortit, le sourire aux lèvres.

Mathieu commença à partir ne se retournant pas pour regarder la professeurs de français, cette dernière étant apparemment muette pendant cet échange chaleureux entre frères. Tournant comme un hirondelle, des pensées dans sa tête recouverte d'un pelage noir appelé cheveux, il regarda le couloir de ses yeux marrons, les main dans les poches, il avait fermé sa bouche pendant que Léon parlait à Isabelle. Après ce moment d'échange de propos tout à fait obligeant, il répondit à la question de son frère qui vennait à peine de se reretourner dans sa direction pour continuer la conversation qui était pourrait-on dire, très passionnante:

"Ne commence pas à ma parler philosophie ou je vais te saouler avec ça! Quoi de beau?"

Il marcha à côté de lui, un sourire fugitif lorsqu'il le regardait, scrutant le jeune homme peureux des professeurs, drôle de phobie n'est-ce pas?

"Hmmm... quoi de beau... on va manger !!!" Bon ok, je crois qu'il faut réellement que j'arrête avec mon humour pourav'!" Il sourit, et continua sa marche à côté d'un garçon qui avait subi plus d'épreuves que n'importe qui à cette âge là... Ca, Léon le savait parfaitemment, et c'était peut être pour ça, qu'en la présence de Mathieu, il faisait sans arrêt l'imbécile... peut être étais ce pour voir son frère sourire comme il ne l'avait jamais vu sourire il y a quelques années...

"Et toi ? Quoi de neuf ? "

Mathieu leva les yeux au ciel lorsque le frèrot sortit une vanne dont il était spécialiste connue sous le nom de navet à notre époque, il regarda droit devant lui, il n'avait pas tellement faim et n'avait donc pas tellement envie d'aller au self mais il y était obligé s'il voulait survir dans ce monde hostil qu'était le leur. Le jeune homme littéraire ne sut pas que répondre à Léon qui apparemment était pressé de savoir des évenements croustillants bien que pour le moment il n'y en eut pas l'ombre d'un, la lumière du jour qui traversait sans difficulté les vitres de verre du couloir commençait à éblouir le jeune homme qui dans un espoir couvra son visage de sa main stoppant l'obligation de plisser les yeux pour y voir plus clair.

"Rien pour le moment! Alors à quand la conquête?"

Il savait bien que Léon n'avait aps encore eut de petite amie ou bien il la lui avait caché, ce qui n'était pas très difficil en soit.

"Pour avoir une conquête, faudrait déjà que j'arrête mon humour pourri..." Son sourire s'était un peu figé, mais il se reprit vite... Ce n'était pas le genre à pleurer parce qu'il n'était encore jamais sorti avec quelqu'un !

"Et Toi?" Il lui avait posé la question sans arrière pensé, gardant un sourire aux lèvres.
Puis, recouvrant ses manches, il mit à l'air son tatouage qu'il fit briller d'un air nonchalant tout en sifflant la marseillaise...

"Et à quand le tatouage en coeur ?" Lui lança t-il.

Mathieu avait déjà eu plusieurs petites amies, quatre très exactement, mais chaqu'une se vit repartir aussi vite qu'elles furent venues lorsqu'elles essayeient de quelque chose sur lui et son passé et plus particulièrement ce passage douloureu et quelque peu détestable. Il refoula quelques souvenirs de scènes de ménages puis reprennant rapidement ses esprits sans que son frère ne le remarque, il regarda encore droit devant lui, la tête ailleurs et une main toujours posée sur son front afin de le protéger de la lumière. Il lui répondit enfin après une petite réflexion sur la première question et la déposition de la seconde:

"Tu veux dire avec marqué dessus: je t'aime Léon!"

Il faillit mourir de rire à cette idée sordide, il savait bien qu'il n'en serait aps capble et que cela lui déplairé=ait autant que de mettre maman je t'aime.

S'étouffant en voulant essayer de se retenir de rigoler, Léon dis dans un souffle:
"Je... je pensais pas à ça mais pourquoi pas, si tu en as envie !!!"Il lui fallut plusieurs minutes pour se remettre de la proposition de son cher frère... Reprenant ses esprits:
"Rien ne vaut les bons vieux tatouages tribaux !!!"

Continuant à jouer avec le tatouage et le soleil, Léon remarqua une petite cicatrice qu'il avait oublié quelques instants, et se dépecha, le plus discretement possible, de rabattre sa manche gauche, couvrant ainsi le poignet, et la cicatrice sur celui ci.

Mathieu mit un long moment à reprendre chaques mots de son frère, ce dernier n'avait aps l'air d'avoir compris l'ironie qu'il vennait de lui faire passer, le surprennant dans un passage sans son et surtout en action désespéré, il se demanda bien ce qu'il pouvait lui cacher mais à en juger par son comportement, il n'avait aps envie que le jeune homme le sache. Tout le monde avait des secrets et les dévoilé si il en avait envie, rien ne le poussé à lui en parler et encore moins à Mathieu déjà si tourmenté bien qu'il n'aurait aps rejeté ce geste de la part de Léon. Il fit comme si de rien n'était pour laisser libre cours à son imagination qui était un peu plus tout les jours perturbée et grandissante. Il répondit longuement:

"Les tatouages c'est pas mon truc! Ce n'est pas en ce marquant au fer rouge que l'on va plaire aux filles!"

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